La maîtrise des flux de communication et d’influence par un petit nombre d’entreprises qui favorisent le clash et le buzz contribue à maintenir un modèle injuste et insoutenable.
Qu’il s’agisse de vendre aux personnes un « bonheur » par la consommation, ou bien de tromper les citoyens sur les pratiques sociales et environnementales réelles des grandes entreprises, le secteur de la communication dans toutes ses composantes n’a jamais déployé des activités d’influence aussi intenses sur nos sociétés et nos vies.

Les signataires appellent les futurs élus parlementaires à s’engager pour une politique de régulation des activités de communication afin d’enclencher une dynamique vertueuse entre renouveau du débat public et transformation écologique. Ils les invitent notamment à mieux encadrer celles des grandes entreprises et à soutenir celles des associations en offrant à la diversité des acteurs citoyens la possibilité de diffuser des idées et de peser dans le débat.

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